“Ô bien-aimée, quels yeux tes yeux! Embarcadères la nuit, bruissant de mille adieux des digues silencieuses qui guettent les lumières. Loin... si loin dans le noir… Ô bien-aimée, quels yeux... tes yeux! Tous ces mystères dans tes yeux! Tous ces navires, tous ces voiliers… Tous ces naufrages dans tes yeux! Ô ma bien-aimée aux yeux païens… Un jour, si Dieu voulait, un jour... dans tes yeux… Je verrais de la poésie, le regard implorant... Ô ma bien-aimée, quels yeux... tes yeux!
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