domingo, 7 de abril de 2013





Le chien dormait couché sur le paillasson de la porte d’entrée, sous une brûlante tombée de soleil ; deux chats, qu’on eût crus morts, étaient allongés sur le rebord des deux fenêtres, les yeux fermés, les pattes et la queue tout au long étendues.
Une grosse poule gloussante promenait un bataillon de poussins, vêtus de duvet jaune, léger comme de la ouate, à travers le petit jardin ; et une grande cage accrochée au mur, couverte de mouron, contenait un peuple d’oiseaux qui s’égosillaient dans la lumière de cette chaude matinée de printemps. 


Maupassant

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